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Une entrevue avec Louise Gendron sur le site web de Châtelaine , le 21 novembre 2014.
Pourquoi raconter l’histoire de Maisy et Shannon ?
Quand j’ai entendu parler de ces disparitions, je suis tombée de ma chaise. Et j’ai voulu comprendre. C’est mon chum qui m’a convaincue de faire un livre. Et un éditeur s’est tout de suite montré intéressé. Alors j’ai plongé. Mais je ne voulais pas de grande analyse avec des chiffres. Je voulais travailler sur un fait divers, une histoire à laquelle on peut s’identifier. Parce que raconter une histoire, c’est raconter toutes les histoires. Et je voulais des Québécoises parce que je vis ici. Et parce qu’on m’a dit tant de fois que ces affaires ne se passaient que dans l’Ouest, alors que 46 Québécoises amérindiennes ont été assassinées depuis 1980. »
Le choix de Marie-Louise Arsenault dans « La liste de notre invitée » , La Presse, 15 novembre 2014.
« J’ai adoré cet essai d’Emmanuelle Walter (…) Elle fait une enquête sur deux jeunes disparues de Maniwaki qui n’ont jamais vraiment été recherchées. C’est un livre essentiel que tout le monde devrait lire. »
Entrevue à Plus on est de fous, plus on lit , Radio Canada Première, 6 novembre 2014 :
« Un livre nécessaire » (Marie-Louise Arsenault)
Interview sur http://aptn.ca/news/2014/11/07/auth... APTN, la télé autochtone canadienne, 6 novembre 2014
Entrevue avec Michel Désautels, Radio Canada Première, dans l’émission « Désautels le dimanche » , 2 novembre 2014
« Des soeurs volées, mais pas oubliées » , Le Droit (Ottawa), Valérie Lessard, 1er novembre 2014
« En dressant les portraits de Maisy Odjick et Shannon Alexander, en prêtant la parole à leurs proches, Emmanuelle Walter a non seulement voulu « rappeler qu’elles auraient pu être nos voisines », mais aussi démontrer que la vulnérabilité de ces femmes « n’est pas un problème propre à l’Ouest, à la fameuse Autoroute des larmes ou au Downtown Eastside de Vancouver ».
« Des femmes disparaissent », Livres Hebdo (Paris), Laurent Lemire, 31 octobre 2014
« Dans ce livre-choc, Emmanuelle Walter donne une autre vision du Canada, loin de la carte postale du pays de Cocagne (…) Féminicide, le mot est fort. Mais on n’en trouve pas d’autre ».
« Au Canada, les Indigènes contre les persécutions » , Journal du Dimanche, Martin Bernard, 17 août 2014
« A ces homicides et disparitions (des femmes autochtones du Canada) s’ajoutent les violences sexuelles, ainsi qu’une terrible difficulté d’insertion sociale. « Leur vulnérabilité fait d’elles des proies », précise la journaliste Emmanuelle Walter, auteure du livre Soeurs volées. »
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Voir en ligne : http://www.soeurs-volees.com/revue-...
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